je ne savais pas
Je retiendrai mon amour et mes larmes
Je ne savais pas que tu étais lui
Mais comment pouvais-je l’ignorer ?
Par nos jeux, nos rôles, nos délires
Pourtant
Je ne savais pas que tu étais lui
Je voulais croire que comme moi
Simplement
Tu élevais des remparts contre le monde
Pour protéger la chair tendre qui nous travaille
Je n’ai pas vu jusqu’au fond de toi
J’y avais tellement cru pourtant
Je veux oublier ton corps lacéré, mutilé
Cette peau que j’ai tant caressée
Tu voulais t’en extraire
Je ne l’ai pas su
Comment ai-je pu être
Aveugle à ce point
A faire l’amour avec toi en pleine lumière
Je n’ai pas vu que tu étais lui
J’ai dans les doigts la sensation
De t’avoir trahi
De ne pas t’avoir vu je reste coupable
D’être restée à la surface des choses
Je n’ai pas su que tu étais lui
J’avais dans les yeux ta grâce
Ta splendeur
J’avais l’image de mes rêves
par dessus ton corps
toutes ces heures
je t’en ai voulu,
comme je t’en ai voulu
alors que j’étais moi-même un monstre
ta chair mutilée, lacérée, le sang
je sais maintenant
tu voulais pleurer des larmes d’homme
j’avais l’image de mes rêves
par dessus ton corps
toutes ces heures
je retiendrai mon amour et tes larmes
même si
je ne sais plus qui j’ai aimé.
Je ne savais pas que tu étais lui
Mais comment pouvais-je l’ignorer ?
Par nos jeux, nos rôles, nos délires
Pourtant
Je ne savais pas que tu étais lui
Je voulais croire que comme moi
Simplement
Tu élevais des remparts contre le monde
Pour protéger la chair tendre qui nous travaille
Je n’ai pas vu jusqu’au fond de toi
J’y avais tellement cru pourtant
Je veux oublier ton corps lacéré, mutilé
Cette peau que j’ai tant caressée
Tu voulais t’en extraire
Je ne l’ai pas su
Comment ai-je pu être
Aveugle à ce point
A faire l’amour avec toi en pleine lumière
Je n’ai pas vu que tu étais lui
J’ai dans les doigts la sensation
De t’avoir trahi
De ne pas t’avoir vu je reste coupable
D’être restée à la surface des choses
Je n’ai pas su que tu étais lui
J’avais dans les yeux ta grâce
Ta splendeur
J’avais l’image de mes rêves
par dessus ton corps
toutes ces heures
je t’en ai voulu,
comme je t’en ai voulu
alors que j’étais moi-même un monstre
ta chair mutilée, lacérée, le sang
je sais maintenant
tu voulais pleurer des larmes d’homme
j’avais l’image de mes rêves
par dessus ton corps
toutes ces heures
je retiendrai mon amour et tes larmes
même si
je ne sais plus qui j’ai aimé.
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